Funny cuts. Cartoons and comics in contemporary art

Funny cuts. Cartoons and comics in contemporary art
Collectif
Ed. Kerber

This book takes as its point of departure Pop Art's revolutionary referencing of comics and concludes with the most current trends in contemporary art, reflecting in many diverse ways its dialogue with the commercial and «trivial« picture worlds of comics and cartoons.
Pop Art artists like Andy Warhol and Roy Lichtenstein were ground-breaking in their provocative confrontation with high and low art using motifs and references from popular comics.
In the sixties, Erró, Hervé Télémaque, and Öyvind Fahlström used comics in their work to critique society; today they are again provoking public interest.
In the seventies, American «comix« dealt with taboo subjects like sexuality and violence; here, for the first time, the subversive potential and the psychological content of comic worlds were used creatively in fine art. Within the context of the punk movement, Mike Kelley and Raymond Pettibon were inspired by comics; in wall-length drawings that made use of the narrative element of comics on the border between visual art and literature.
New German and international artists question political and social realities and their own identity through the mythological potential of comics and animations and also in the creation of new virtual identities using video art.

Artists
Yoshitaka Amano, Angela Bulloch, Marcel Dzama, Tim Eitel, Erró, Inka Essenhigh, Öyvind Fahlström, Arturo Herrera, Hideaki Kawashima, Mike Kelley, Roy Lichtenstein, Takashi Murakami, Yoshitomo Nara, Julian Opie, Philippe Parreno, Raymond Pettibon, Alexander Roob, Wilhelm Sasnal, Dorothea Schulz, David Shrigley, Thaddeus Strode, Hervé Télémaque, Andy Warhol, Sue Williams and others
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Chichu Art Museum. Tadao Ando Builds for Walter De Maria, James Turrell and Claude Monet

Chichu Art Museum. Tadao Ando Builds for Walter De Maria, James Turrell and Claude Monet
Collectif
Ed. Hatje Cantz

One of the most recent achievements in the brilliant career of Japanese architect Tadao Ando is a spectacular structure composed of basic geometric forms. Situated on the island of Naoshima off the picturesque coast of western Japan, the Chichu Art Museum provides a congenial setting for the presentation of an exquisite selection of undisputed masterpieces of artistic reduction, including a monumental sculpture by Walter De Maria, meditative light installations by James Turrell, and a series of Claude Monet's incomparable Water Lilies. The museum, located on cliffs overlooking the straits of the Seto Inland Sea, is the latest part of an expansive museum environment envisioned by the publisher Fukutake - a private estate filled with sculptures, installations, Land Art, and artist pavilions.
This publication presents the building in captivating photographs by Naoya Hatakeyama and Ryuji Miyamoto, showing both the construction site and the completed museum, as well as insightful essays on the treasures contained within.
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Photos sur http://www.hatjecantz.de/controller.php?cmd=detail&titzif=00001460

Petit traité du jardin ordinaire

Petit traité du jardin ordinaire
Cauquelin Anne
Ed. Rivages poche

«Il est difficile, lorsque l'on vit en contact étroit avec la nature, de se sentir découragé.» Elizabeth von Arnim

Qu'est-ce qu'un jardin, de quel type d'espace s'agit-il, quelle est sa forme temporelle, de quelles pièces doit-il se composer pour avoir droit au nom de «jardin» ?

En distinguant le jardin de son frère ennemi, le paysage, en évitant de le soumettre à la contagion des «beaux jardins», en essayant d'aller à l'élémentaire, ce petit traité tente de fixer pour un moment l'objet jardin, objet toujours en mouvement, toujours inachevé, et dont la composition subtile réclame un prudent dosage.
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Mais qu'il se montre dans son ingénuité ou qu'il s'expose comme une oeuvre contemporaine, le jardin répond à une loi qui le met à part dans les productions humaines : celle de l'anentropie, ce travail incessant de reconstruction, de rapiècement, de rétablissement patient à partir des restes.

Nomade sur la voie d'Ella Maillart

Nomade sur la voie d'Ella Maillart
Roche Amandine
Ed. Petite Bibliothèque Payot

Amandine Roche est entrée en nomadisme comme on entre en religion. Fascinée par Ella Maillart, elle voulait rencontrer celle qui avait consacré sa vie «à la poursuite du vent, des cieux et des dieux de l'Asie», mais la voyageuse mythique est morte avant leur rendez-vous.

Amandine n'a plus alors qu'une idée en tête : partir sur les traces d'Ella, explorer son chemin spirituel, retrouver ces peuples nomades que la grande aventurière aimait tant. En dix-huit mois elle parcourt des milliers de kilomètres, découvre les villes-étapes des caravanes de l'ancienne route de la Soie, pénètre dans le désert du Takla Makan, sillonne l'Inde, le Népal, le Tibet, la Mandchourie et la Chine.
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Le monde McCarthy

Le monde McCarthy
McCarthy Pete
Ed. Hoëbeke/Etonnants voyageurs

Dangereux, de se mettre en quête de sa famille et de ses origines, pour un McCarthy! Après une investigation minutieuse, même si parfois titubante, menée en Irlande de bar en bar, voici donc notre héros lancé par-delà les frontières à la rencontre de la «McCarthy Connection».

Apprendre en effet que votre chef de tribu serait marocain, que l'invention du whiskey et la création d'une ville d'Alaska seraient dues à des personnages qui portent votre nom, peut vous mener loin. D'ailleurs, passé cette entrée en matière, c'est fou comme, de Tanger à New York, d'Australie à Butte (Montana), puis en Alaska, tout le monde prend des airs de membres du vaste clan. Lesquels à l'origine, c'est bien connu, étaient noirs, avant que la bruine irlandaise ne leur délave le teint...

Tourbillon de rencontres improbables, drolatiques, émouvantes, tohu-bohu de héros titubants, égarés, dérisoires et démesurés, toujours d'une formidable humanité, Pete McCarthy nous mène tambour battant - jusqu'à McCarthy, dans le Grand Nord, dix-sept habitants et quelques milliers d'ours éméchés...

«Si vous n'avez pas pissé de rire au bout de quelques pages, ou ne vous êtes étranglé à force de hurlements de joie, les probabilités sont assez élevées, en fait, que vous soyez mort», a écrit, d'enthousiasme, le critique de l'Irish Times. Mais attention: comme dans tous les grands livres, le génie comique n'est peut-être ici que la politesse de la profondeur...
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Hôtels littéraires. Voyage autour de la Terre

Hôtels littéraires. Voyage autour de la Terre
H. de Saint-Phalle Nathalie
Ed. Denoël

Nouvelle édition

D'Aden à Zurich, de l'Europe à l'Asie, des Amériques à l'Afrique, ce livre est un tour du monde des hôtels de la littérature. Réel ou fictif, palace, pension, auberge ou motel, l'hôtel a toujours occupé une place privilégiée dans l'imaginaire romanesque. Pour les écrivains comme pour leurs personnages, ce lieu de passage est le théâtre de tous les drames, de toutes les passions. On peut y trouver la mort comme Tchekhov ou Lautréamont, la passion comme Apollinaire et Lou, ou Lolita, des fantômes comme Julien Green ou Yeats, des voleurs comme Maïakovski ou Zweig...Plus qu'une simple évocation des lieux, c'est à un voyage en littérature que nous convie Nathalie H. de Saint Phalle. Une promenade sur plus de deux siècles, aux accents parfois nostalgiques ou drôles, un parcours sans fin que chacun pourra prolonger à sa guise.
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L'art de vivre à ciel ouvert

L'art de vivre à ciel ouvert
Stafford Cliff & Gilles de Chabaneix (photo)
Ed. Aubanel

Quoi de plus agréable que de dîner sous la pergola, faire une sieste dans un hamac ou sur la banquette d'un pavillon d'été, profiter d'une table de bistrot sur un balcon ensoleillé pour une partie d'échecs, converser entre amis dans la fraîcheur d'un patio ou prendre un café sur un bout de terrasse, au-dessus du vacarme de la grande ville ?
? Cet ouvrage nous invite à progressivement reconquérir les espaces à ciel ouvert - ou al fresco - qui nous entourent mais que nous avons oubliés, à commencer par les espaces les plus élémentaires (un balcon, un simple banc sous un grand arbre).
? Il nous encourage dans un deuxième temps à tirer le meilleur des espaces de transition (terrasses, vérandas, patios ou serres) qui sont souvent négligés mais peuvent offrir de délicieux points de vue sur le monde.
? On peut alors s'immerger davantage dans la nature grâce aux pièces extérieures (belvédères, kiosques, pavillons, pavillons d'été) où l'on peut mener une vie secrète, méditative ou créative...
? Inviter l'extérieur à l'intérieur par des citations naturelles (bois flottés, feuillages, motifs végétaux, etc.) permet aussi d'atténuer les frontières entre intérieur et extérieur.
? Enfin, l'art de vivre à ciel ouvert n'est pleinement accompli que lorsque l'on peut vivre dehors la plus grande partie de la journée : manger, cuisiner, dormir, prendre un bain... tout cela est tellement meilleur dehors !
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Alechinsky versant Sud

Alechinsky versant Sud
Sicard Michel
Ed. Galilée

Le peintre qui a vécu l'aventure Cobra - groupe d'artistes expérimentaux nordiques - vient s'installer à Paris en 1951. Début d'une migration vers une autre lumière. Les thèmes changent : les 'hautes herbes' deviennent savanes, pelures d'oranges, palmiers, chutes d'eau, volcans, arbres brûlés ou plaques d'égoût.
L'oeuvre d'Alechinsky bouleverse la structure des tableaux qui se dédoublent en 'centre et marges'. Tout y est parcours, croissances, efflorescences, miroitements.
Alechinsky est un contemporain majeur par cette remise en cause de l'image unaire. Comme dans un film, il traque inlassablement le temps et fait émerger une matière naturelle qui nous pétrit paradoxalement d'imaginaire. En témoignent ces effluves, ces fluidités, ces tremblements du papier d'abord roulé en boule, ou estampé à même le sol - touchant la peau du réel pour d'oniriques divagations continuées par les poètes. Dotremont, Butor, Ionesco, Tardieu...
Ce 'versant Sud' se nourrit d'orientalisme. Depuis son voyage au Japon en 1955, la forme/le dessin, aux techniques d'encre et d'eau, se rapproche de la calligraphie. Le trait est trace ou signe que le peintre ressource aux origines des écritures.
Michel Sicard, depuis une vingtaine d'années, est l'interprète de cette oeuvre où les chemins de la peinture et de l'écriture se croisent, s'exaltent, se multiplient.
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L'Italie à vélocipède

L'Italie à vélocipède
Joseph & Elizabeth Pennell
Ed. Desjonquères/La fosse aux ours

En octobre 1884, Joseph et Elizabeth Pennell, jeunes Américains récemment mariés, entreprennent, en tricycle, un voyage entre Florence et Rome. Ils sont vivement encouragés par leurs amis qui leur promettent une mort certaine dans cette contrée où sévissent les brigands, le choléra et la malaria ! Vaillamment pourtant, les Pennell, perchés sur leur drôle de machine, empruntent les routes de Toscane et d'Ombrie sous le regard ébahi des populations locales. Leurs tribulations, où s'entremêlent le passé et le présent, les légendes et la réalité, font de ce livre un document tout à fait original.
Publié en 1887, L'Italie à vélocipède est un classique de la littérature de voyage.
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Kailash

Kailash
Marie Milis, Anne Momber & Marlyse Schweizer
Ed. Weyrich

Un pèlerinage au bout du monde,
à la découverte de soi.
Du 25 août au 23 septembre 2001, cinq femmes : Anne, Marie, Valérie (Belges), Marlyse (Suisse) et Danièle (Française), entreprennent un pèlerinage au Tibet, autour du Mont Kailash. Huit coéquipiers sino-népalais nous aideront à la réalisation de ce voyage. Cinq jours d'acclimatation et de préparatifs chez nos hôtes à Katmandou seront bienvenus. Nous rejoignons Lhassa par avion. Empruntant la piste qui longe la face nord des Himalayas et remonte le fleuve Yarlung Stangpo, nous traversons en 4X4 les 900 km du haut plateau tibétain qui séparent Lhassa du mont Kailash. Le retour sur Katmandou se fera via Saga, Pegutso, le col de Lalung La, Nyalam et Kodari.
En dix-sept jours nous parcourrons 1 700 km
Nous passons 12 nuits sous tente. L'altitude moyenne est de 4 500 m.
Le pèlerinage à proprement parler, la kora, est la circumambulation à pied autour de la montagne sacrée du Kailash. Nous effectuons les 52 km de la kora en trois jours, passant par le fameux col du Dolma La à 5 671 mètres.
Au retour, de la densité des évènements vécus naîtra pour trois d'entre elles, le besoin d'écrire et de partager le récit du pèlerinage, mais surtout leur voyage intérieur.
En espérant que Valérie et Danièle y reconnaîtront l'aventure partagée, Anne, Marie et Marlyse, coauteurs, témoignent :
«On ne part pas au Kailash impunément...»
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