Accompagnè d'un DVD du montage 3D
Edité à l'occasion de l'exposition de la grande maison tropicale de Brazzaville sur le Port des Champs-Elysées fin 2006, ce catalogue détaille les trois maisons tropicales de Jean Prouvé sous forme d'album de famille en publiant la majorité des archives.
Rien n'est plus significatif, plus expressif, qu'un inventaire, sous l'apparence de la froide objectivité. De la juxtaposition des ?uvres et des styles, de leur
succession systématique dans la chronologie naît, au-delà des disparates de rencontre, la puissante impression d'un mouvement de longue portée et jusqu'au sentiment que l'esprit du lieu et du temps, son unité secrète, réside précisément dans cette pluralité, dans l'énergie qui crée ce perpétuel renouvellement des formes, si caractéristique de Manhattan : l'énergie d'Elmer Moffat, le héros de La Coutume du pays d'Edith Wharton - laquelle, née à New York, n'aimait guère sa cité, jugée trop provinciale. Le livre de Gerrit Engel, architecte et photographe, n'est donc pas un livre de plus sur New York mais le recensement de 162 monuments emblématiques de Manhattan, depuis la Moris-Jumel Mansion de 1765, à l'architecture sobrement et noblement palladienne, jusqu'à la Hearst Tower de 2006, prisme néobaroque que Norman Foster a édifié sur un socle Art déco préexistant. Verticales ou horizontales (City Hall, 1812, Carnegie Hall, 1891, Pierpont Morgan Library, 1906, Madison Square Garden, 1968) ; en prisme (American Folk Art Museum, 2001) ou en spirale (Guggenheim Museum de F. L. Wright, 1959), voire en pyramide tronquée (Museum of the Jewish Heritage, 1996), toutes ces architectures, célébrissimes ou inconnues, sont présentées comme des tableaux, encadrés sur la page, la légende en regard. Le lecteur se laisse alors porter par l'évidence des rimes, comme celle qui relie, à cent ans de distance, The Corinthian, 1987, et Lipstick Building, 1986, à Flatiron Building, 1903. Comme si le retour ' postmoderne ' qui fait ajouter par Philip Johnson, s'écartant de Mies van der Rohe avec qui il avait construit, en 1958, le Seagram Building, un superbe, un horrible fronton néoantique au Sony Plaza, siège d'AT & T, en 1984, faisait partie intégrante de Manhattan, née d'un dessein rationnel, d'un plan ' hypodamien ' de ses fondateurs hollandais, mais, depuis, emblème de l'énergie destructrice, rénovatrice, conservatrice de l'architecture moderne.
Présentation de l'éditeur
Rien n'est plus significatif, plus expressif, qu'un inventaire, sous l'apparence de la froide objectivité. De la juxtaposition des ?uvres et des styles, de leur
succession systématique dans la chronologie naît, au-delà des disparates de rencontre, la puissante impression d'un mouvement de longue portée et jusqu'au sentiment que l'esprit du lieu et du temps, son unité secrète, réside précisément dans cette pluralité, dans l'énergie qui crée ce perpétuel renouvellement des formes, si caractéristique de Manhattan : l'énergie d'Elmer Moffat, le héros de La Coutume du pays d'Edith Wharton - laquelle, née à New York, n'aimait guère sa cité, jugée trop provinciale. Le livre de Gerrit Engel, architecte et photographe, n'est donc pas un livre de plus sur New York mais le recensement de 162 monuments emblématiques de Manhattan, depuis la Moris-Jumel Mansion de 1765, à l'architecture sobrement et noblement palladienne, jusqu'à la Hearst Tower de 2006, prisme néobaroque que Norman Foster a édifié sur un socle Art déco préexistant. Verticales ou horizontales (City Hall, 1812, Carnegie Hall, 1891, Pierpont Morgan Library, 1906, Madison Square Garden, 1968) ; en prisme (American Folk Art Museum, 2001) ou en spirale (Guggenheim Museum de F. L. Wright, 1959), voire en pyramide tronquée (Museum of the Jewish Heritage, 1996), toutes ces architectures, célébrissimes ou inconnues, sont présentées comme des tableaux, encadrés sur la page, la légende en regard. Le lecteur se laisse alors porter par l'évidence des rimes, comme celle qui relie, à cent ans de distance, The Corinthian, 1987, et Lipstick Building, 1986, à Flatiron Building, 1903. Comme si le retour ' postmoderne ' qui fait ajouter par Philip Johnson, s'écartant de Mies van der Rohe avec qui il avait construit, en 1958, le Seagram Building, un superbe, un horrible fronton néoantique au Sony Plaza, siège d'AT & T, en 1984, faisait partie intégrante de Manhattan, née d'un dessein rationnel, d'un plan ' hypodamien ' de ses fondateurs hollandais, mais, depuis, emblème de l'énergie destructrice, rénovatrice, conservatrice de l'architecture moderne.
Présentation de l'éditeur
La cinémathèque française s'est associée avec Magnum photos pour la réalisation d'une oeuvre originale par dix photographes, afin de dévoiler l'influence de la fiction cinématographique sur le monde de la photographie documentaire.
Rien n'est plus significatif, plus expressif, qu'un inventaire, sous l'apparence de la froide objectivité. De la juxtaposition des ?uvres et des styles, de leur
succession systématique dans la chronologie naît, au-delà des disparates de rencontre, la puissante impression d'un mouvement de longue portée et jusqu'au sentiment que l'esprit du lieu et du temps, son unité secrète, réside précisément dans cette pluralité, dans l'énergie qui crée ce perpétuel renouvellement des formes, si caractéristique de Manhattan : l'énergie d'Elmer Moffat, le héros de La Coutume du pays d'Edith Wharton - laquelle, née à New York, n'aimait guère sa cité, jugée trop provinciale. Le livre de Gerrit Engel, architecte et photographe, n'est donc pas un livre de plus sur New York mais le recensement de 162 monuments emblématiques de Manhattan, depuis la Moris-Jumel Mansion de 1765, à l'architecture sobrement et noblement palladienne, jusqu'à la Hearst Tower de 2006, prisme néobaroque que Norman Foster a édifié sur un socle Art déco préexistant. Verticales ou horizontales (City Hall, 1812, Carnegie Hall, 1891, Pierpont Morgan Library, 1906, Madison Square Garden, 1968) ; en prisme (American Folk Art Museum, 2001) ou en spirale (Guggenheim Museum de F. L. Wright, 1959), voire en pyramide tronquée (Museum of the Jewish Heritage, 1996), toutes ces architectures, célébrissimes ou inconnues, sont présentées comme des tableaux, encadrés sur la page, la légende en regard. Le lecteur se laisse alors porter par l'évidence des rimes, comme celle qui relie, à cent ans de distance, The Corinthian, 1987, et Lipstick Building, 1986, à Flatiron Building, 1903. Comme si le retour ' postmoderne ' qui fait ajouter par Philip Johnson, s'écartant de Mies van der Rohe avec qui il avait construit, en 1958, le Seagram Building, un superbe, un horrible fronton néoantique au Sony Plaza, siège d'AT & T, en 1984, faisait partie intégrante de Manhattan, née d'un dessein rationnel, d'un plan ' hypodamien ' de ses fondateurs hollandais, mais, depuis, emblème de l'énergie destructrice, rénovatrice, conservatrice de l'architecture moderne.
Présentation de l'éditeur
Cet herbier consacre les plantes des zones humides : lacs, étangs, mares, ruisseaux, canaux d'irrigation et leur voisinage immédiat. Il présente 137 plantes, dont saules, mousses, fougères, nénuphars, roseaux, myosotis, menthe aquatique, plantes carnivores, renoncules, etc. Des aquarelles permettent d'identifier les plantes rencontrées au cours de balades.
Un regard moderne sur un art traditionnel ancestral.
Plus de 50 arrangements faciles à réaliser. Des instructions détaillées pour concevoir les compositions les plus simples ou les arrangements libres nés de votre inspiration personnelle. Des conseils d'expert pour conserver longtemps la fraîcheur des fleurs. De véritables oeuvres d'art à créer selon vos goûts.
Présentation de l'éditeur
Rien n'est plus significatif, plus expressif, qu'un inventaire, sous l'apparence de la froide objectivité. De la juxtaposition des ?uvres et des styles, de leur
succession systématique dans la chronologie naît, au-delà des disparates de rencontre, la puissante impression d'un mouvement de longue portée et jusqu'au sentiment que l'esprit du lieu et du temps, son unité secrète, réside précisément dans cette pluralité, dans l'énergie qui crée ce perpétuel renouvellement des formes, si caractéristique de Manhattan : l'énergie d'Elmer Moffat, le héros de La Coutume du pays d'Edith Wharton - laquelle, née à New York, n'aimait guère sa cité, jugée trop provinciale. Le livre de Gerrit Engel, architecte et photographe, n'est donc pas un livre de plus sur New York mais le recensement de 162 monuments emblématiques de Manhattan, depuis la Moris-Jumel Mansion de 1765, à l'architecture sobrement et noblement palladienne, jusqu'à la Hearst Tower de 2006, prisme néobaroque que Norman Foster a édifié sur un socle Art déco préexistant. Verticales ou horizontales (City Hall, 1812, Carnegie Hall, 1891, Pierpont Morgan Library, 1906, Madison Square Garden, 1968) ; en prisme (American Folk Art Museum, 2001) ou en spirale (Guggenheim Museum de F. L. Wright, 1959), voire en pyramide tronquée (Museum of the Jewish Heritage, 1996), toutes ces architectures, célébrissimes ou inconnues, sont présentées comme des tableaux, encadrés sur la page, la légende en regard. Le lecteur se laisse alors porter par l'évidence des rimes, comme celle qui relie, à cent ans de distance, The Corinthian, 1987, et Lipstick Building, 1986, à Flatiron Building, 1903. Comme si le retour ' postmoderne ' qui fait ajouter par Philip Johnson, s'écartant de Mies van der Rohe avec qui il avait construit, en 1958, le Seagram Building, un superbe, un horrible fronton néoantique au Sony Plaza, siège d'AT & T, en 1984, faisait partie intégrante de Manhattan, née d'un dessein rationnel, d'un plan ' hypodamien ' de ses fondateurs hollandais, mais, depuis, emblème de l'énergie destructrice, rénovatrice, conservatrice de l'architecture moderne.
Présentation de l'éditeur
Des paysagistes ont imaginé une expression éphémère 'grandeur nature' de leurs projets d'aménagements paysagers, en s'inspirant du travail de plasticiens du land art comme Andy Golworthy ou Richard Long. Avec des matériaux naturels, (sable, pierre, fruits, branches ...), ils composent des jardins d'un jour ou de quelques heures, préfiguration de leur projets plus pérennes...
Rien n'est plus significatif, plus expressif, qu'un inventaire, sous l'apparence de la froide objectivité. De la juxtaposition des ?uvres et des styles, de leur
succession systématique dans la chronologie naît, au-delà des disparates de rencontre, la puissante impression d'un mouvement de longue portée et jusqu'au sentiment que l'esprit du lieu et du temps, son unité secrète, réside précisément dans cette pluralité, dans l'énergie qui crée ce perpétuel renouvellement des formes, si caractéristique de Manhattan : l'énergie d'Elmer Moffat, le héros de La Coutume du pays d'Edith Wharton - laquelle, née à New York, n'aimait guère sa cité, jugée trop provinciale. Le livre de Gerrit Engel, architecte et photographe, n'est donc pas un livre de plus sur New York mais le recensement de 162 monuments emblématiques de Manhattan, depuis la Moris-Jumel Mansion de 1765, à l'architecture sobrement et noblement palladienne, jusqu'à la Hearst Tower de 2006, prisme néobaroque que Norman Foster a édifié sur un socle Art déco préexistant. Verticales ou horizontales (City Hall, 1812, Carnegie Hall, 1891, Pierpont Morgan Library, 1906, Madison Square Garden, 1968) ; en prisme (American Folk Art Museum, 2001) ou en spirale (Guggenheim Museum de F. L. Wright, 1959), voire en pyramide tronquée (Museum of the Jewish Heritage, 1996), toutes ces architectures, célébrissimes ou inconnues, sont présentées comme des tableaux, encadrés sur la page, la légende en regard. Le lecteur se laisse alors porter par l'évidence des rimes, comme celle qui relie, à cent ans de distance, The Corinthian, 1987, et Lipstick Building, 1986, à Flatiron Building, 1903. Comme si le retour ' postmoderne ' qui fait ajouter par Philip Johnson, s'écartant de Mies van der Rohe avec qui il avait construit, en 1958, le Seagram Building, un superbe, un horrible fronton néoantique au Sony Plaza, siège d'AT & T, en 1984, faisait partie intégrante de Manhattan, née d'un dessein rationnel, d'un plan ' hypodamien ' de ses fondateurs hollandais, mais, depuis, emblème de l'énergie destructrice, rénovatrice, conservatrice de l'architecture moderne.
Présentation de l'éditeur