Cedric Jacquet, né en 1968, a commencé une carrière en informatique après avoir obtenu une maîtrise en administration des affaires à l'ULB (Bruxelles). C'est lors d'un voyage de 6 mois de Zanzibar à Cape Town, en 1993, qu'il s'est découvert une passion pour la photographie.
Quelques années plus tard, il se lance dans une carrière de photographe nature free-lance.
Ses sujets de prédilection sont les oiseaux d'eau et les déserts, ses terrains favoris : les deltas de rivières et les lacs d'une grande partie de l'Europe, d'Afrique et d'Amérique Centrale et du Sud, ainsi que le Namib et l'Atacama.
Retrouvez en un seul tome l'intégrale de la 153e édition du Bon Jardinier, le Dictionnaire des plantes. Ouvrage de référence en matière d'horticulture, il s'adresse autant aux professionnels et aux étudiants qu'aux jardiniers amateurs.
Cette réédition tant attendue propose un recensement actualisé de plus de 3 000 plantes figurant chacune avec leur étymologie, leur famille, leurs caractéristiques et descriptions botaniques, leurs propriétés, et bien sûr leur meilleur mode de culture et leur période de plantation. Le Bon Jardinier comprend également un index des synonymes latins, ainsi qu'un index général permettant aux lecteurs de rapidement retrouver les plantes de leur choix.
Un ouvrage de référence plus de 3 000 entrées
Plus de soixante auteurs et spécialistes ont travaillé à la réalisation de cet ouvrage sous la direction de Jean-Noël Burte, ancien conservateur du jardin du Luxembourg, vice-président du Conservatoire des collections végétales spécialisées et de Gérard Aymonin, sous-directeur honoraire au Muséum national d'histoire naturelle.
«Deux artistes libres, insolents, subtils ont inventé un livre qui fait rêver.»
Voici un manifeste ironique de résistance botanique. Mais aussi une radiographie de notre société à travers une attaque en règle contre les jardins à la mode et une galerie de portraits sans pitié de leurs propriétaires. Aucun jardin n'y manque : le jardin du collectionneur fanatique obsédé par les espèces rares au point d'oublier le plaisir visuel ou le parfum des fleurs ; le jardin bon chic bon genre, artificiel à force de trouvailles accumulées ; le jardin milliardaire sans passion, symbole de réussite sociale, confié à un paysagiste, pardon, un garden-designer ; les parterres kitch qui s'étalent sur les ronds-points et même le jardin pornographique où la nature débridée explose dans toute sa sensualité. Mais cette vallée des horreurs réserve aussi de bonnes surprises comme le jardin du pompiste, le potager clandestin et imprévisible prospérant en dépit de tous les taux de pollution, bizarrerie de la nature donnant naissance à des créations touchantes...