á la veille de la retraite, un professeur de lettres classiques accusé d'avoir tenu des propos racistes
envers ses étudiants, préfère démissionner plutôt que de livrer le secret qui pourrait l'innocenter.
Tandis que l'affaire Lewinski défraie les chroniques bien pensantes, Nathan Zuckerman ouvre le dossier de son voisin Coleman Silk et découvre derrière la vie très rangée de l'ancien doyen un passé inouï, celui d'un homme qui s'est littéralement réinventé, et un présent non moins ravageur.
Après Pastorale américaine et J'ai épousé un communiste, La tache, roman brutal et subtil, complète la trilogie de Philip Roth sur l'identité de l'individu dans les grands bouleversements de l'Amérique de l'après guerre, où tout est équivoque et rien n'est sans mélange. Il a le rythme, la puissance et le talent des plus grands, et, aussi cette mûre capacité de manier justement un sujet d'une telle complexité morale avec la sophistication narrative requise, bien au-delà des artifices. Cette juxtaposition si précise et pénétrante de grandeur et d'intimité nous laisse comme paralysé par un sentiment d'empathie et de reconnaissance? comme une tragédie antique, sans doute.
Existe aussi en poche
á la veille de la retraite, un professeur de lettres classiques accusé d'avoir tenu des propos racistes
envers ses étudiants, préfère démissionner plutôt que de livrer le secret qui pourrait l'innocenter.
Tandis que l'affaire Lewinski défraie les chroniques bien pensantes, Nathan Zuckerman ouvre le dossier de son voisin Coleman Silk et découvre derrière la vie très rangée de l'ancien doyen un passé inouï, celui d'un homme qui s'est littéralement réinventé, et un présent non moins ravageur.
Après Pastorale américaine et J'ai épousé un communiste, La tache, roman brutal et subtil, complète la trilogie de Philip Roth sur l'identité de l'individu dans les grands bouleversements de l'Amérique de l'après guerre, où tout est équivoque et rien n'est sans mélange. Il a le rythme, la puissance et le talent des plus grands, et, aussi cette mûre capacité de manier justement un sujet d'une telle complexité morale avec la sophistication narrative requise, bien au-delà des artifices. Cette juxtaposition si précise et pénétrante de grandeur et d'intimité nous laisse comme paralysé par un sentiment d'empathie et de reconnaissance? comme une tragédie antique, sans doute.
Existe aussi en poche
á la veille de la retraite, un professeur de lettres classiques accusé d'avoir tenu des propos racistes
envers ses étudiants, préfère démissionner plutôt que de livrer le secret qui pourrait l'innocenter.
Tandis que l'affaire Lewinski défraie les chroniques bien pensantes, Nathan Zuckerman ouvre le dossier de son voisin Coleman Silk et découvre derrière la vie très rangée de l'ancien doyen un passé inouï, celui d'un homme qui s'est littéralement réinventé, et un présent non moins ravageur.
Après Pastorale américaine et J'ai épousé un communiste, La tache, roman brutal et subtil, complète la trilogie de Philip Roth sur l'identité de l'individu dans les grands bouleversements de l'Amérique de l'après guerre, où tout est équivoque et rien n'est sans mélange. Il a le rythme, la puissance et le talent des plus grands, et, aussi cette mûre capacité de manier justement un sujet d'une telle complexité morale avec la sophistication narrative requise, bien au-delà des artifices. Cette juxtaposition si précise et pénétrante de grandeur et d'intimité nous laisse comme paralysé par un sentiment d'empathie et de reconnaissance? comme une tragédie antique, sans doute.
Existe aussi en poche
á la veille de la retraite, un professeur de lettres classiques accusé d'avoir tenu des propos racistes
envers ses étudiants, préfère démissionner plutôt que de livrer le secret qui pourrait l'innocenter.
Tandis que l'affaire Lewinski défraie les chroniques bien pensantes, Nathan Zuckerman ouvre le dossier de son voisin Coleman Silk et découvre derrière la vie très rangée de l'ancien doyen un passé inouï, celui d'un homme qui s'est littéralement réinventé, et un présent non moins ravageur.
Après Pastorale américaine et J'ai épousé un communiste, La tache, roman brutal et subtil, complète la trilogie de Philip Roth sur l'identité de l'individu dans les grands bouleversements de l'Amérique de l'après guerre, où tout est équivoque et rien n'est sans mélange. Il a le rythme, la puissance et le talent des plus grands, et, aussi cette mûre capacité de manier justement un sujet d'une telle complexité morale avec la sophistication narrative requise, bien au-delà des artifices. Cette juxtaposition si précise et pénétrante de grandeur et d'intimité nous laisse comme paralysé par un sentiment d'empathie et de reconnaissance? comme une tragédie antique, sans doute.
Existe aussi en poche
Dans la première nouvelle, parue en 1963, une jeune fille prête son bras droit à l'homme qu'elle aime : allégorie absolue de l'horreur de l'osmose amoureuse, qui, une fois réalisée, tourne au cauchemar et à la réaffirmation d'un monde de solitude absolue. La seconde nouvelle, parue en 1933, relate l'histoire d'un jeune garçon accusé du meurtre de deux de ses amies.
«À cette heure précise où les buses s'installent autour de la piscine, les parachutistes français, dans leurs transats de résine, se donnent des airs de Rambo, des coopérants québécois rivalisent de rires bruyants avec des coopérants belges. En ce dimanche tranquille, un ancien ministre de la Justice se livre à d'intenses exercices d'échauffement sur le tremplin, quelques carcasses rondouillettes ou faméliques troublent l'eau, et Valcourt, qui note ces observations, les marmonne, souvent avec rage, parfois avec tendresse, mais toujours ostensiblement.»
Bernard Valcourt, journaliste revenu de tout, de la famine en Éthiopie à la guerre au Liban, se rend au Rwanda pour une bien futile et utopique mission, mettre sur pied un service de télévision libre. Il y découvre un pays ravagé par la misère, la corruption, le sida, et l'amour au travers de Gentille, une Hutue aux traits fins de Tutsie. Et, tandis que la petite colonie occidentale se détend au bord de la piscine à Kigali, un peuple sombre dans la folie exterminatrice.
Présentation de l'éditeur
A Ystad, un consultant en informatique s'écroule devant un distributeur de billets. Plus loin, deux gamines assassinent sauvagement un chauffeur de taxi, sans le moindre scrupule et sans mobile apparent.
Qu'est-ce qui pourrait bien relier le cadavre d'un consultant en informatique avec l'affaire du chauffeur de taxi et plus tard, l'élimination de son assassin, une toute jeune fille ? Un morceau de câble haute tension...
Urs Blank, grand avocat d'affaires en Suisse, serait-il repris par le démon du midi ? A moins qu'il ne traverse une crise plus profonde. Sa rencontre avec une jeune hippie va complètement bouleverser sa vie au point de le rendre méconnaissable, voire de le faire disparaître. Autour de lui, la violence grandit et les drames se multiplient. Martin Suter emmène subtilement le lecteur dans la dérive et c'est avec un effroi grandissant que nous poursuivons la terrible métamorphose d'Urs Blank.
Songez-vous au suicide ?
Pas de panique, vous n'êtes pas seul.
Nous sommes plusieurs à partager les mêmes idées, et même un début d'expérience. Écrivez-nous en exposant brièvement votre situation, peut-être pourrons-nous vous aider. Joignez vos nom et adresse, nous vous contacterons. Toutes les informations recueillies seront considérées comme strictement confidentielles et ne seront communiquées à aucun tiers. Pas sérieux s'abstenir. Veuillez adresser vos réponses Poste restante, Bureau central de Helsinki, nom de code 'Essayons ensemble'. A.P.
Deux suicidaires se retrouvent fortuitement dans une vieille grange où ils souhaitaient partir tranquilles. Entravés dans leurs funestes projets, ils se mettent en tête de rassembler d'autres désespérés pour monter une association. Commence alors, à bord d'un car de tourisme flambant neuf, un périple loufoque mené à un train d'enfer, des falaises de l'océan Arctique jusqu'au cap Saint-Vincent au Portugal pour un saut de l'ange final. Un récit désopilant doublé d'une réflexion mordante sur le suicide.
Présentation de l'éditeur
Lorsqu'ils se croisent par hasard sur les hauteurs de Dublin, Clara et Lar sont deux êtres meurtris, éprouvés par l'existence. Pour le reste, tout les sépare : la politique, la religion, leurs tempéraments respectifs. Instinctivement, chacun se méfie du miroir que le malheur de l'autre lui tend. Pourtant, la rencontre aura lieu, pleine de tensions, d'incompréhension, mais aussi d'espoir. Une de ces rencontres qui, insensiblement, modifient le cours de nos destinées...
Dans un style limpide, Jennifer Johnston, considérée comme l'un des plus grands écrivains irlandais contemporains, nous offre avec Petite Musique des adieux une magnifique composition à deux voix.
Présentation de l'éditeur