Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.
Patty épouse Walter Berglund et décide de mener une vie rangée d'épouse aimante et de mère dévouée. Elle renonce à son amour de jeunesse Richard Katz, un rocker, meilleur ami de Walter. L'histoire de ce trio est liée au climat émotionnel, politique et moral des Etats-Unis entre 1970 et 2010, avec une incroyable virtuosité.
Ce matin-là, elle me verse du scotch, du Teacher's, sur le ventre, et le lèche. L'après-midi elle essaie de se jeter par la fenêtre. Je ne peux plus supporter tout ça, et je le lui dis. Je fais, 'Holly, ça ne peut pas durer. C'est de la folie. Il faut que ça s'arrête.'» Gloriette
Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.
Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.
Evénément !
Les textes inédits de Marilyn Monroe, écrits entre 1943 et 1962.
Tout un univers intérieur pour découvrir l'autre face de l'icône.
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Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.
«Il s'apprêtait à allumer une cigarette avec sa dernière allumette, mais ses mains se mirent à trembler. L'allumette s'éteignit et il resta là, tenant sa cigarette d'une main et sa pochette d'allumettes de l'autre, fixant d'un oeil vide la forêt qui s'étalait à l'infini à l'extrémité de la prairie d'un vert cru. Harry, il faut qu'on s'aime, dit Emily. Il ne nous reste plus qu'à nous aimer, dit-elle.»
«Tout le monde rêve. Si tu ne rêvais pas, tu deviendrais fou. J'ai lu des trucs là-dessus. C'est une soupape. Les gens rêvent quand ils dorment. Ou alors, ils deviennent dingues. Mais moi, quand je rêve, je rêve de vitamines. Tu comprends ce que je te dis ?»
Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.