New York n°2

New York n°2
Hunt Laird
Ed. Actes Sud

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

Une si longue histoire

Une si longue histoire
Levy Andrea
Ed. Table ronde

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

El sueño del celta

El sueño del celta
Vargas Llosa Mario
Ed. Alfaguara

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

Le Show de la vie

Le Show de la vie
Chi Li
Ed. Actes Sud

Dans la rue Jiquing, le quartier des restaurants de plein air, Lai Shuangyang vend des cous de canard. Femme forte, femme du peuple, par son courage mais aussi par sa capacité à se débrouiller, voire même à se transformer en harpie, cette héroïne de la Chine de toujours peut faire bouger l'ordre des choses. Où l'on retrouve la force, la saveur... et l'inimitable rosserie de Chi Li.

Faut-il manger les animaux ?

Faut-il manger les animaux ?
Foer Jonathan Safran
Ed. L'Olivier

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

True grit

True grit
Portis Charles
Ed. Serpent à plumes

« True Grit est un roman culte. Et Mattie Ross rejoindra le Panthéon des personnages américains mythiques, aux côtés de Kit Carson, Wyatt Earp et Jesse James. » Washington Post

« Extrêmement réjouissant ! » Télérama

« [...] Je n'ai rien lu de tel depuis 20 ans... Quel écrivain ! » Roald Dahl

La vie sexuelle des super-héros

La vie sexuelle des super-héros
Mancassola Marco
Ed. Gallimard/Du monde entier

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

Un long silence

Un long silence
Gilmore Mikal
Ed. Sonatine

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

Le dernier stade de la soif

Le dernier stade de la soif
Exley Frederick
Ed. Monsieur Toussaint Louverture

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

Le caveau de famille

Le caveau de famille
Mazetti Katarina
Ed. Gaïa

Angel, Vazquez, qui avait pourtant connu la gloire du prix Planeta dès son premier roman, aura mis des années à écrire son chef d'oeuvre, cette Chienne de vie de Juanita Narboni. Ce n'est que lors de son exil espagnol, pays dont il était resté paradoxalement étranger, que ce tangérois de naissance et de coeur trouvera la forme propre à son ambition : recréer, le son, l'atmosphère d'un Tanger international encombré par sa mythologie surannée. Le monologue de Juanita est la voix d'une ville, Tanger. Tout au long du roman, Juanita nous raconte sa vie, avec ses joies, ses peines, ses amours et ses haines ; mais cette vie, de la jeunesse à la décadence, se confond avec le destin de cette ville cosmopolite. Un monde où l'on mélange les traditions, jure dans toutes les langues, prie selon toutes les religions. Juanita est drôle, pleine d'ironie, parfois méchante et toujours un peu nostalgique ; une pauvre fille qui court dans ses mauvaises chaussures après sa vie qui lui échappe. Elle mêle rencontres, événements passés et présents, anecdotes et rêves dans une faconde hallucinante et hallucinée. Ce Tanger qu'elle traverse sans cesse, elle le sait condamné à disparaître, alors elle le pleure et le moque, elle le maudit et le regrette, mais surtout elle en incarne la langue, hybride et bariolée, ahurissante explosion verbale.

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