Deux histoires parallèles qui se répondent : l'une sur les violences faites aux femmes et l'autre sur la violence exercée par les femmes.
L'auteur revisite la tragédie grecque antique en proposant une version moderne de l'oeuvre d'Euripide Les Phéniciennes, transposant la Grèce antique dans le monde actuel.
Une vieille femme raconte à sa petite-fille ses souvenirs d'enfance, au sein d'une famille qu'elle a décidé de quitter pour trouver un autre foyer, idéal. Elle relate les nombreuses péripéties qu'une telle recherche lui aura fait vivre.
Un recueil de chroniques et de critiques de l'actualité théâtrale de 1978 à 1985. L'académicienne se prononce sur le travail de dramaturges célèbres, tels que Peter Brook ou Antoine Vitez, mais également sur des genres populaires, comme le théâtre de boulevard. Elle s'intéresse aux liens à tisser avec d'autres domaines artistiques et aux surprises que recèlent les festivals.
Ce témoignage autobiographique revient sur la vocation et la pratique théâtrale de l'auteure. Elle aborde sa rencontre avec Jean Vilar et Robert Bresson, son immersion dans les textes de grands écrivains qu'elle traduit, tels Caldéron et García Lorca. Elle crée l'une des premières UFR de théâtre, tient une chronique à la NRF et écrit une adaptation de la légende arthurienne avec J. Roubaud.
La vie et le parcours du metteur en scène polonais par lui-même.
Ingénieur, architecte et scénographe, N. Sabbattini construit le Teatro del Sole à Pesaro en 1637. Il résume son expérience dans ce traité qui présente les différents artifices du machiniste et du décorateur dans le théâtre dit à l'italienne.
La transmission des œuvres performatives et chorégraphiques contemporaines soulève de vifs débats théoriques, esthétiques, politiques, institutionnels, pédagogiques, méthodologiques ou juridiques. Pratiques artistiques éphémères, engageant le corps, réalisées dans la perspective d'un rapport à un public, la performance et la danse contemporaine requièrent des modes de transmission procédant à la fois de l'archive et de la mémoire orale et corporelle. Ce double registre, dont les termes sont trop souvent pensés en opposition, explique pourquoi l'art de la performance et les œuvres chorégraphiques ont échappé jusque récemment aux institutions patrimoniales qui privilégient des approches archivistiques, documentaires et matérielles de la transmission.
Ce livre explore les pistes que des approches mémorielles de l'archive permettent d'ouvrir. Les reenactments sont abordés en tant qu'« archives performatives » qui instaurent une circulation entre les documents, les corps, les scripts, les récits d'expériences. Participant pleinement du fonctionnement esthétique des œuvres et de leurs reprises, la documentation devient moteur de création et suscite de multiples réactivations à travers des expositions, des performances, des sites Internet. De ces réévaluations émergent de nouvelles façons de concevoir les histoires des arts vivants, qu'il s'agisse d'herméneutiques des documents, de laboratoires historiographiques au sein d'expositions, de productions mémorielles au cœur des pratiques artistiques. Pour se développer, ces pratiques requièrent l'invention de structures hétérodoxes ou la convergence des institutions vouées à la culture matérielle et celles consacrées aux répertoires, sans pour autant écarter les dissensus et les frictions indispensables à une « pensée complexe » des phénomènes de transmission.
Dictionnaire biographique présentant des clowns et autres artistes comiques de tous les lieux et de toutes les époques.
Je n'ai pas trouvé la maison.
Ce sont les premiers mots du Garçon lorsqu'il arrive chez les parents de la Fille et frappe à la porte. Là, sur le seuil de cette maison étrangère, débute le théâtre de Fosse. Ouvrons la porte et entrons.